Théo Zynati / Bad Boy Italian [UC]

(c) Obsession

Théo avait une petite sœur, Rowan. Il était de 3 ans son ainé, et avait noué avec elle une complicité intense. Sa jeune sœur était douce, ravissante, d’une gentillesse débordante au grand cœur, elle était aimée de tous et était destinée à un merveilleux avenir, en vue de ses résultats scolaires. En un mot, Rowan était la pureté même de l’innocence humaine. Etant le grand frère, Théo développa à l’égard de sa sœur une protection fraternelle, surtout vis-à-vis des garçons. Il cherchait à préserver son innocence, la trouvant encore trop jeune pour sortir avec le sexe opposé. Celle-ci l’acceptait, elle comprenait les raisons de son frère à la protéger, et de plus, elle-même se trouvait encore trop jeune pour y penser.
Mais pourquoi parler d’elle au passé ? Tout simplement parce qu’un homme lui à retiré son innocence en même temps que sa vie, alors qu’elle n’avait que 14 ans. Cet homme, oui un homme puisqu’il avait 25 ans, harcelait Row’ depuis un mois environ, il était épris de la jeune femme mais celle-ci le repoussait. Il avait déjà frôlé sa peau, suivit son regard, dévisagé sa démarche et son corps… Théo en avait été témoin, et sa sœur lui racontait tout, surtout à propos de ce type qui s’instruisait dans sa vie… Un soir, Théo, bien qu’étant plus jeune que lui, lui fit passer l’envie d’approcher sa petite sœur par de multiples coups et injures. Seulement « les flics » étaient dans les parages, et malgré les faits ce fut Théo qui fut inculpé pour coups et blessures. Puisque lui seul n’était pas blessé, et l’autre étant mal en point jouant le rôle de la victime s’en sortit avec une excursion à l’hôpital pour être soigner. Alors que Zynati, passa la nuit en prison dans une cellule froide et miteuse.
Les parents Zynati n’était pratiquement jamais à la maison, étant soit en déplacement pour affaire, soit en voyage en amoureux. Ce soir ci, ils n’étaient pas là, Théo s’en souvient encore ci c’était hier, le 12 février… L’homme en profita pour faufiler à l’intérieur de la maison avec discrétion. La seule personne qu’il risquerait de croiser était celle de l’adolescente, et uniquement elle. Cette idée le fit doucement sourire…
Alerter par des cris, bien que bref et court, la voisine des Zynati, prévenu la police. Etant au poste depuis quelques heures, Théo comprit tout de suite ce qui se passait, la violation de domicile, c’était chez lui… Un des policiers, le libéra pour qu’il l’accompagne et arrivée sur place, aucun mot ne put sortir… … Row’ était morte, nue, étendue sur le sol du salon, avec le corps de cet homme à ses cotés qui avait un sourire aux lèvres…
Jamais il ne put oublier, et jamais il ne le pourra… Il culpabilise, si seulement il était resté auprès d’elle, si il n’était pas sortit se soir là

Théo ne peut pas définir un seul meilleur souvenir. Depuis que sa sœur est décédée, il n’a pas retrouvé le sourire et la joie de vivre. Alors quand on le lui demande, il répond tout simplement les 14 années où sa sœur était encore là. Son meilleur souvenir s’étale sur 14 ans, bien trop long selon vous, mais pas pour lui, ça a été trop court. Il revoit ses sourires, entend son rire, la voit marcher pour la première fois, ou encore commencé son adolescente. Il y a tellement de choses qu’il ne peut rien résumé, on ne peut pas résumer une vie qui a été vécue et retiré de force. Il se souvient même de détails insignifiant, comme l’entendre ronchonner parce qu’il a prit l’ordinateur, ou la voir manger une glace. Des détails insignifiants pour les autres, mais qui restent au premier plan dans la vie de Théo. Une blessure qui ne se referme jamais, au contraire elle s’agrandit à la force de renouer le passé sans cesse, et de se torturer l’esprit…
Depuis qu’elle est morte, il ne peut vous citer aucun bon souvenir, absolument aucun. Mais depuis qu’il est entré dans cet établissement, il se pourrait bien qu’il rompe la routine. Sa rencontre avec une américaine du nom de Nora, le chamboula, et remit son cœur à battre… Son prochain meilleur souvenir serait peut être elle, ou peut être pas, puisqu’à qu’a fois qu’il la voit, il n’a pas envie qu’elle devienne un souvenir, mais une présence…

Dans un entourage on compte 4 groupes : La famille, les amis, les relations amoureuses et les ennemis. Notre vie est ainsi faite, et c’est à nous de savoir la gérer.
Pour commencer du coté de sa famille, c’est le néant. Quand il a perdu sa sœur, Théo avait 17 ans, allant vers sa 18ème année. Le drame survenu dans sa famille a été un choc pour tous. Les parents, bien que compréhensif, rejetèrent la faute sur leur fils, et ils avaient bien raison puisque Théo se sentait coupable, et responsable. Le lien avec sa famille ne fut plus comme avant. Avant tout était joyeux, des parents s’aimant comme au premier jour, deux enfants qui s’entendaient à merveilles, de l’argent pour pouvoir s’offrir une vie simple et heureuse, toute une famille derrière soi à nous aider, et pourtant en une nuit tout s’effaça. Théo fut suivit pendant 3 mois par un psychologue, mais en vain, puisque que celui-ci n’a jamais rien dit, ou alors se contentant de parler d’autres choses, de détourner le sujet… A ses 18 ans, il eut le choix et arrêta la thérapie, la trouvant inutile. Il était coupable, il le savait, il n’avait, par conséquent, pas besoin d’aide. Il s’éloigna de sa famille, mais garda le contact, c’est tout de même sa famille. Aujourd’hui les liens reprennent des forces, la distance y est pour beaucoup, surement… Bien que se soit difficile avec eux, il en reste proche, prenant des nouvelles, se rendant aux diners de familles, aux invitations, visites de courtoisie, etc… Les circonstances de l’époque ont voulu cette séparation, mais aujourd’hui, cela se passe mieux.
Au niveau de l’amitié, Théo est très bien entouré. De nature directe et franche, il n’hésite pas à dire ce qu’il pense tout haut. De cette façon, ses amis savent à quoi s’attendre et ceux qui ne sont pas sincère, Théo les vire de sa liste d’amis. Aussi, peut être que ses amis sont peu nombre, mais ceux sont ses meilleurs amis, il peut compter sur eux, et eux sur lui. Il est vraiment très proche d’eux, et ferait n’importe quoi pour les aider. Avec son entrée dans cet institut, il se sépara de certains d’entre eux, mais peu importe la distance, il sera toujours présent pour eux. Mais il fit également de nouvelle rencontre, comme Aaron O’Connor, un jeune homme de nationalité américaine, qui deviendra un ami très proche, son meilleur ami… Parmi ces nouvelles relations, il y a Nora Stewart, une Américaine elle aussi. Cependant, il ne la considère pas comme une amie proche, ses sentiments à son égard son différent, il l’aime, follement… Mais c’est compliqué… Comment être avec une femme qui nous rend dingue, alors qu’on s’est refusé à aimer aussi fort ?... Théo a eut beaucoup de flirt, d’amourette, mais surement encore plus de nuit d’un soir. Il ne veut pas s’engager, du moins il ne le veut plus… Après le décès de sa sœur, ouvrir son cœur à nouveau fut difficile, mais une jeune femme l’aida à y parvenir : Carry. Elle plaisait beaucoup au jeune homme, il sortit avec elle à 19 ans, celle-ci avait un an de moins que lui. Il s’aimait, et grâce à elle, Théo se sentait renaitre. Mais après 1 an, leur couple se brisa. Carry mis un terme à leur relation, en lui annonçant qu’elle l’avait déjà trompé, et qu’elle en aimait un autre… Depuis il ne s’attache plus, voguant d’histoire en histoire, sans jamais de lendemain. Néanmoins avec Nora c’est différent, et malgré ce qu’il ressent pour elle, il ne veut pas la blesser, ne passer qu’une seule nuit avec elle, il veut plus… Il la veut elle, pour toujours… Il ne s’attendait pas à ce que l’amour lui tombe dessus en une fraction de seconde, juste par un regard…
Une autre femme est entrée dans sa vie, Elena Pristley. Elle à Théo dans le collimateur, et lui tourne souvent autour. Seulement, lui ne ressent rien pour elle, peut–être peut-il lui offrir son amitié, mais pas au-delà…
L’année n’a commencé que depuis un mois, d’autres relations sont à se parfaire, bonne ou mauvaise…

Le plus gros problème de sa vie ? C’est cet homme, celui qui à violé sa sœur avant de la tuer. Elle, est décédée, et lui toujours en vie. En prison certes, mais toujours en vie… A sa sortie, si Théo le recroise, il ne sait pas ce qu’il pourrait lui faire, mais le final ne serait surement pas beau à voir…
Ce drame de son passé, le hante encore et toujours. Chaque nuit il fait le même cauchemar, il revit la scène, comme si il pouvait tout voir sans bouger, sans rien faire… Il essaye toujours de la sauver, sans jamais y arriver. Ses réveils se font en sursaut, il est en sueur, tremblant… Ses nuits sont très agitées, si bien que quand il se trouvait en présence d’une femme, il ne fermait pas les yeux, de telle sorte que personne ne sache à quel point il pouvait être déstabilisé…
Pour essayer de trouver un meilleur sommeil, ne pas rêver, Théo à commencer à sortir tous les soirs dans les bars, et à boire. On peut qualifier cet acte de problème puisqu’il nui à sa santé, mais ses troubles du sommeil également. Et qui plus ait, l’alcool est le meilleur moyen qu’il a trouvé pour « oublier » l’espace d’un instant ce qui s’est passé il y a 4 ans. Au début cela n’était qu’un échappatoire, mais maintenant, il ressent le besoin de boire. Il compense le manque de sa sœur par l’alcool… Ça ne marche pas pourtant, il ne peut oublier, il en est juste devenu dépendant…

Jamais dit, ou jamais partagé ? Théo est un homme bien mystérieux. Il évite de parler de son passé, de ce qui a été douloureux, tout comme de parler de sa famille devant ses amis. Mais ça, c’est son coté de mystère… Même si on croit, n’avoir jamais rien dit, avoir un secret, il y a souvent une personne qui s’en doute, ou qui le connaisse par divers indice. Mais souvent n’est pas toujours. Théo n’a pas de secret à proprement parler, laisser planer un mystère sur sa vie, n’est pas un secret mais un choix, une préférence… Cependant il y a bien une chose qu’il n’a jamais partagé, se sont ses sentiments. Tout ce qu’il ressent il ne le partage pas, le gardant enfermé à double tour dans son cœur, sans que cela ne s’échappe. Il n’a jamais dit non plus « Je t’aime », à une fille. Jamais est peut être un bien grand mot, puisqu’il l’a dit une seule fois, à Rowan. C’était le soir du meurtre, le soir où Théo était sortit pour retrouver l’homme. Il avait déposé un baiser sur le front de sa sœur, en lui disant « Je t’aime ». Mais depuis ça lui est impossible. Il a l’impression que s’il prononce ses mots, la personne à qui il les aura dits, lui sera retirée… Ça en est de même avec les sentiments, c’est trop difficile d’ouvrir son cœur, de dire des mots d’amour, d’amitié, de soutient, alors qu’on à l’impression que par ces mots ont appelle la mort…

Depuis le décès prématuré de sa sœur, Théo pense se diriger vers la profession des forces de l’ordre. Premièrement dans la police, bien qu’avec son caractère se soit un peu difficile, puis dans le privé. Il aimerait être son propre patron, être utile pour les autres, et surtout arrêter tous ces violeurs, et meurtriers. Puis récemment il pensait se diriger vers l’armée… Son avenir est encore incertain, et trouble. S’il est ici, c’est pour pouvoir suivre des cours, tout en réfléchissant à ce qu’il ferait à la sortie…

Arrivant dans un nouveau pays, où il ne connaît encore personne, savoir s’il est envié ou détesté reste une question sans réponse, impossible à donner. Néanmoins, en Italie, son pays natal, Théo était à la fois envié et détesté. Cette difficulté se remarquait surtout en présence des hommes : Le jeune homme plait beaucoup aux femmes, par sa carrure, son regard, son coté romantique, séducteur, sa tchatche, son accent, etc… Et qui plus est, c’est un italien pur souche. On peut dire que 50% des hommes l’enviait, le jalousait, s’imaginait vivre la vie du jeune Zynati, avec son corps et son caractère. Et au contraire, il y avait les autres 50% des hommes qui le détestait et le jalousait. C’est un vrai tombeur auprès des filles, sa cote de popularité auprès de ces dernières est impressionnante. Du temps du collège et du lycée, il devait être n°1 dans le classement de ces demoiselles… Et forcément cela faisait des jaloux…

C’est plutôt à eux qui faudrait poser la question, puisque c’est ce qu’ils pensent. Mais étant en Italie, il est vrai qu’il serait difficile d’obtenir des réponses. Alors tachons de trouver quelque chose à dire. Selon lui, ses amis diraient que Théo à une forte personnalité. Il est d’une nature franche et directe. Ainsi avec lui ça passe ou ça casse, dès qu’il a quelque chose à dire il le dit, que cela plaise ou non. Mais ceci fait que ses amis lui accordent une confiance aveugle, il leur dira toujours la vérité, même si cela les blesse. Car le principal n’est pas le mentir pour que l’autre soit satisfait, mais de lui dire ce qu’on pense vraiment pour l’aider… Le jeune homme est également courageux, n’hésitant pas à aller droit devant sans faire attention aux dangers. Il se refuse de vivre dans la peur, bien qu’il est pu s’en sortir jusque là, depuis quelques années il y a une peur qui ne cesse de le hanter, et pourtant il fait tout pour la battre… Vous l’aurez donc compris, notre petit italien est doté un cœur très généreux.
Cependant depuis le décès de sa sœur, ses amis lui ont souvent reproché de se renfermer. Car bien que lui est le cœur généreux envers autrui, il refuse que quelqu’un puisse l’aider, puisqu’il n’a pas besoin d’être aider. Personne ne peut se remettre complètement de la perte d’un être cher, comment lui reprocher son renfermement ? Rajoutons que le jeune Zynati est de nature colérique et impulsive. Il l’a toujours été, mais depuis que sa sœur n’est plus ici, sa colère est très grande. Peu importe s’il passer ses nerfs sur quelqu’un ou quelque chose, sa colère ne s’atténuera pas…
Une dernière caractéristique qu’ils ont put remarquer, c’est son coté de jalousie quand il est avec une femme. Théo ne jalouse personne, il n’envie pas la vie d’un autre… Il a la vie qu’il mène et c’est tout. Dans ce dernier cas c’est la jalousie sous la forme d’envie. En amour, le jeune homme ne supporte pas qu’un autre homme vienne tourner autour de sa belle, que leur histoire soit celle d’une année, d’un jour, d’une semaine, d’une nuit, etc… Quand il aime vraiment, les poings son de sortis…

Son plus grand défaut est sans nul doute son impulsivité et sa colère. On pourrait lui attribut le péché capital de la colère. Certes tout le monde en ressent, mais pas comme lui. Cette colère est principalement destinée à un seul homme, le responsable du drame de sa famille. Mais avec les années il est en colère après lui-même, et il n’y a rien de pire que de dévouer une colère gigantesque…
Ainsi lors d’une conversation calme, ou d’un petit geste mal placé sans méchanceté, par erreur, etc… le jeune homme pourra s’emporter violemment. Ceci soit selon son humour, soit parce que quelque chose lui aura fait se souvenir d’un moment avec sa sœur… Et il ne faut pas chercher loin pour qu’un mot ou une phrase lui fasse, et lui rappelle sa sœur. La véritable raison de ce trait de caractère est un signe de protection. Jamais Théo n’a versé une larme, pourtant il pourrait en faire couler à flot. Seulement il considère le fait de pleurer comme un signe de faiblesse : pour une femme il trouve que cela est touchant, signe de fragilité et d’un cœur ouvert, mais pour un homme c’est tout le contraire, c’est la faiblesse… Alors pour ne pas s’y laisser prendre il ne laisse parler que sa colère, et non plus ce qui est important : le cœur…

Sa plus grande qualité ? Surement sa détermination. Quand il entreprend quelque chose il y va jusqu’au bout. S’il y a un obstacle il le franchira, mais jamais n’abandonnera. Pendant son enfance, son père lui répétait sans cesse de ne jamais renoncer, de ne jamais baisser les bras, que c’était le symbole des lâche, et qu’il n’en était pas un. De plus, on lui disait aussi qu’il pourrait déshonorée sa famille. Les mots étaient peu être un peu durs à entendre pour un enfant, mais ils ont été un trait de son éducation. Aujourd’hui il est fier d’avoir été éduqué de la sorte et d’être celui qu’il est. La plupart des gens s’effondre face à un échec, lui non. Au contraire, il tire sa force d’un échec…

Il y a beaucoup de chanson qui lui plaise, mais de là à en avoir une préférée, et une seule… Disons que la chanson qu’il écoute le plus en ce moment, c’est Bleed It Out de Linkin Park. Mais avant celle là il y a eu ACDC avec par exemple Highway To Hell, mais aussi Metallica et bien d’autres.
Et dans un autre registre on trouve Better Than Me (Hinder), Tranquilize (The Killers), Fight Outta You (Ben Harper). Et une dernière qui lui vient à l’esprit, Dernier combat de Manau. En écoutant cette chanson il pense à sa sœur… Manau l’a écrit suite au décès de sa femme et elle ne peut que nous toucher. Les paroles et la mélodie sont à fondre en larme… Mais ça Théo s’y refuse, il accetue juste le mal aise intérieur…

On cherche tous à ressembler à un de nos proche, ou à une célébrité… Mais pour le cas de Théo, il aimerait juste ressembler à une personne stable, qui ne se laisse pas envahir par sa colère et ses émotions. Son passé est douloureux, et encore trop récent. Il ne s’en est toujours pas remis, et ne le fera sans doute jamais… Le jeune homme reste donc encore un peu perturbé et difficile d’approche, alors qu’il ne demande qu’à être comme les autres, mais il à au fond de lui une colère si grande qu’il lui est impossible de la maitriser, d’être stable…

Son idéal ? Il n’en à pas, c’est aussi simple que ça. Quand on aime c’est le cœur qui décide et pas un stéréotype qu’on a en tête. On ne peut pas avoir envie d’aimer un certain type de personne, et en rejeter d’autre. Certes il y a des critères, mais quand on aime vraiment on voit très vite qu’on les oublie… Il faut se laisser guider par le cœur, et non par des idées qu’on se fait …

Comment un chiffre peut nous porter chance ? Une superstition de plus qu’il faut ajouter au tableau des croyants. Selon c’est une idiotie, on peut préférer un nombre à un autre, voir en un nombre une signification particulière, un souvenir, mais sûrement pas de la chance. Que se passera t-il si ce en quoi vous avez misé s’effondre ? La faute de ce chiffre qui n’a pas su vous portez vous ? Non, absolument pas… Théo aime le chiffre 3 et 7, tout simplement parce que sa sœur est né le 3 juillet, mais il n’y joint aucun signe de chance. Ce sont juste des chiffres qui représente quelque chose d’important pour lui, et c’est tout…

C’est exactement la même chose que précédemment. Comment on peut avoir une couleur fétiche ? Comment une couleur peut nous porter chance ? On pense que c’est le blanc, alors lors d’un entretien d’embauche ou d’un rencart on porte du blanc pour que cela nous soit bénéfique ? Et au final, vous n’obtenez pas le travail voulu, ou vous êtes déçu de votre soirée ? Soyez réaliste, nous avons une préférence pour une couleur, mais ça ne va pas au delà.
Si vous lui demander qu’elle couleur il préfère, que se soit en vêtement, ou autres il vous répondra alors le noir.

En perdant sa sœur, Théo à perdu sa famille. Le contact à été rompu brutalement, mais bien que aujourd’hui les deux cotés essayent de changer leur rapports, il n’en reste pas moins que le jeune italien s’est éloigné de sa famille, l’ayant même perdu les 2 années suivantes du décès de sa sœur. A cette même époque, Zynati sortait avec une jeune femme dont il était amoureux, Carry. Il n’a jamais pu le lui dire pour des raisons personnelles, des difficultés à prononcer ces mots. Mais elle aussi il l’a perdu… Et aujourd’hui, en intégrant cette fac, de la Silicon Valley, Théo a quitté quelques amis… Il est donc facile à comprendre pourquoi la peur du jeune homme est de perdre de nouveau un de ses proches. Sa peur s’accentue quand on parle de perdre quelqu’un, dans le sens de le perdre par un décès…

Pour ne pas se laisser submerger par cette peur, Théo se dépense corps et âme dans des associations. Ça en est devenu un hobby. Il aime se rendre utile, savoir qu’il est en vie pour quelque chose, pour d’autres personnes. Tête brulé dans l’âme, il aime être au cœur de l’action, sans se poser de question. Un trait de caractère qui le pousse à choisir son avenir dans un cabinet de détective privé à son nom, ou dans l’armée… Comment être plus utile que d’aider son prochain ? Ainsi voilà en quoi se résume son hobby, aider son prochain par n’importe quel moyen…

Quand il décida d’entrer à l’université, il dut faire face à un certain nombre d’option. Connaissant la voie qu’il voulait suivre, Théo décida de choisir l’option de criminologie. Un cursus qui lui sera bénéfique pour passer le concours de détective privé, et pour sa culture en la matière.

Bien sûr que oui… Elle ne lui manque pas depuis qu’il a intégré cette école, mais depuis 4 ans, depuis que Rowan est morte, et qu’il a quitté le domicile familiale. On est lié à sa famille, qu’on en soit proche ou non. C’est notre sang, notre passé, notre présent et notre avenir. On peut changer d’amis, ne plus les voir suite à des chemins différents, mais sa famille qu’on le veuille ou non, on vivra avec jusqu’à notre mort.
Sa sœur lui manque par-dessus tout, mais il ne peut rien faire pour venir combler ce manque, puisqu’elle n’est plus. En revanche il essaie de garder souvent un contact avec sa famille, principalement avec ses parents. Aujourd’hui, leur relation se passe mieux, le temps et la distance les aident beaucoup... Mais il s'est habitué à cet éloignement et àa ce manque...

Théo avait fait des demandes dans plusieurs facultés, mais en parallèle il préparait le concours de la police Seulement n’étant pas sûr de la poursuite des choses, s’il obtiendrait ou pas son concours, il devait donc avoir une roue de secours. Et cette deuxième voie, c’était l’université. A l’annonce des résultats, Théo obtenu son concours, avec mention. Cependant malgré cette réussite, il ne put entrer à l’école de police. Son caractère est trop fort et impulsif. Lors de la deuxième épreuve, l’épreuve orale, Théo avait eu des paroles quelques peu violents envers un agent. On lui avait demandé la raison pour laquelle il voulait être accepté, était-ce lié à une expérience du passé ? Une question de trop qui fit monter le ton dans la voix du jeune homme. Il répondit simplement mais un peu sèchement, qu’il le faisait pour mettre des assassins, des violeurs, des pédophiles, etc… derrière les barreaux, puisque personne ne le faisait dans leur service. Rapidement la conversation pris une autre tournure, et il était inévitable que la réponse à ce concours fut un refus. On lui dit de retenter sa chance l’année prochaine, et d’apprendre à maitriser sa colère, son impulsivité. Et il était trop tard pour passer le concours de détective privé.
Alors il devait choisir une faculté. Mais laquelle ? Il fut accepté dans deux universités, une à Rome, et l’autre à Milan. Mais également dans une troisième, à laquelle il n’avait pas postulé. Celle-ci se trouvait en Amérique, à Silicon Valley. Autrement dit très éloigné de sa ville natale. Pourtant c’est celle-ci qu’il a choisit, et pas une autre. Pourquoi ? Il n’a jamais eu l’occasion de quitter son pays natal, et on lui en donne l’opportunité par cette lettre. De plus cela lui permettra de changer d’air, d’environnement, de s’éloigner de sa famille, et d’essayer de commencer quelque chose d’autre ailleurs, dans un territoire et une vie inconnue…

La première réaction fut sans aucun doute la surprise. Comment avait-il put être accepté dans cette université alors qu’il n’y avait pas postulé. C’était incompréhensible, étrange… Oui étrange est le bon mot. Il en vint à rejeter cette proposition, laissant la lettre de coté, et allant même jusqu’à penser à un blague de ses amis. Mais après vérification, il s’avéra qu’ils n’y étaient pour rien. Théo se décida donc à faire quelques recherches sur cette école et il semblerait qu’aucun étudiant n’y soit encore jamais allé. Une toute nouvelle faculté, qui cherchait surement à se faire connaître, en envoyant divers demandes aux étudiants. Enfin c’est ce que Théo se dit, sinon quoi d’autre ?
Après avoir obtenu ces 3 réponses positives, Théo retourna chez ses parents, pour parler de son avenir, des choix à faire, car leur opinion comptait pour lui. Et finalement le choix de changer de pays se fit plus offrant…

Tout en roulant, Théo découvrait peu à peu le nouvel environnement dans lequel il allait vivre à présent. Rien de comparable aux paysages italiens, il ne pouvait pas les comparer chacun ayant des choses qui lui sont propres. Une fois arrivée devant l’établissement, Théo laissa sa voiture dans le parking. En sortant de celle-ci il enleva doucement ses lunettes de soleil, pour voir l’établissement en lui-même : Grand, nouveau, moderne, mystérieux… Il ne savait pas comment la décrire puisque cela n’était pas son fort. En y pénétrant, il put découvrir un espace immense, aussi bien en largeur qu’en hauteur. Il remarqua aussi qu’il y avait toute sorte de nationalité dans l’enceinte de l’établissement, tous étaient impressionnés, excités, mais avec un peu d’angoisse tout de même. Comment il pouvait le savoir ? Théo à un petit secret, il parle plus de six langues et comprend donc aisément ce que le reste des étudiants se disent.
Il chercha à se repérer rapidement, surtout au niveau des têtes, voir avec qui il fréquenterait l’école. Certes il y avait énormément de monde, mais son regard resta marqué par quelques personnes. Pour une première vision de l’établissement, Théo fut impressionné, tout comme els autres… Mais face à tout ceci, tout ce monde, toutes ces nationalités, et surtout aux cris de jeunes femmes qui découvrait chaque recoins de l’entrée, tous étaient trop excités, beaucoup trop… Ainsi dès qu’il déposa sa valise sur le sol, la première phrase sortit de sa bouche fut celle-ci : « Dans quoi je me suis encore embarqué ? »…

_ Il parle plus de six langues, mais pourtant il ne s’en vante pas.
_ Il a un tatouage tribal sur l’omoplate gauche, ainsi qu’un autre, plus petit, sous l’avant bras gauche. Il a, dans ses projets, l’idée de s’en faire un autre, du coté droit cette fois ci, au cou, derrière l’oreille, soit tribal une fois de plus, soit chinois.
_ Il a une passion pour la photographie.
_ A ses heures perdues, il aime prendre sa guitare, se poser dans un coin et composer quelques mélodies.
_ Il a fait beaucoup de musculation, et continue à en faire pour se maintenir en forme. Le corps et cette carrure qu’il s’est forgé provient de ce temps passer en salle de sport.
_ Sportif le jeune homme à fait d’autres sports tel que le football, le basket Ball, le judo, la boxe française, etc…
_ Enfant, Théo allait avec son père dans des stands de tirs. Avec les années il a appris à devenir un professionnel. Surtout que pour son entrée à l’école de police, il est demandé de savoir tirer. Chose que son père lui avait déjà inculqué.